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Un départ canon et le large pour horizon !

Dernière mise à jour : 21 avr.

Ce dimanche 20 avril à 13h02, les 19 duos de la Transat Paprec se sont élancés. Au programme : après les « au revoir » des pontons, un parcours côtier spectaculaire sous un ciel gris certes mais avec des conditions clémentes (10 à 15 nœuds de vent de nord-ouest) avant de prendre le large. C’est donc le début d’un sacré périple, la seule transatlantique disputée à armes égales et en duos mixtes. Cette 17e édition s’annonce particulièrement indécise, tant les prétendants à la victoire sont nombreux. La nouvelle garde de la Classe Figaro a bien l’intention de se livrer un match de chaque instant. « Rappelez-vous de leurs noms, encourage Charlie Dalin, lui-même vainqueur de la Transat Paprec en 2012. Il y a parmi eux les futurs vainqueurs du Vendée Globe dans huit ou douze ans ! »



Il y a toujours l’idée d’un vertige avant un grand départ. Le moment a été trop pensé, trop envisagé, trop réfléchi pour qu’il n’ait rien d’anodin. Il l’est encore plus pour ces 38 skippers qui s’apprêtent à tout donner à bord de leur Figaro Beneteau 3 de 10,89 mètres, exigu, éreintant, qui fatiguera les corps et les organismes.  Derrière ce combat-là, qui reste intime parce que les marins seront en « faux solo » la plupart du temps, le dépassement de soi est une nécessité. Et au bout de ce tunnel d’efforts, il y a la chaleur des Antilles, les douceurs de Saint-Barthélemy et la capacité, aussi, de s’inscrire dans la grande histoire de la course au large.  


La Transat Paprec, devenue 100% mixte depuis la dernière édition, est un révélateur de grands talents. Celle et celui qui inscriront leurs noms au palmarès rejoindront un club de géants, aux côtés de Michel Desjoyeaux (lauréat en 1992), Jean Le Cam (1994), Karine Fauconnier (2000), Armel Le Cléac’h (2004, 2010), Thomas Ruyant (2018). Charlie Dalin, lauréat en 2012, en fait partie aussi. Présent sur le village hier mais aussi au départ ce matin, le vainqueur du Vendée Globe prodiguait ses conseils. « C’est une course qui se joue sur des réglages, des petits décalages, confiait-il. Ça se court à très haute intensité, avec très peu d’écart à l’arrivée. Ceux qui gagnent, ce sont ceux qui osent ». Et ça tombe bien : les 19 duos de la Transat Paprec, témoins de la vitalité de la classe Figaro, sont tous des audacieux.

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